Les maires du Regroupement des 21 villes qui ont dégagé un consensus sur leur vision du développement d’un réseau de transport intégré Laval – Basses-Laurentides, dans le but de contrer la congestion et d’améliorer la mobilité de leurs citoyens, se disent satisfaits des mesures annoncées par le gouvernement du Québec.
« Nous avons reçu le 28 février dernier la confirmation de la création d’un bureau de pilotage des mesures de mitigation du REM et nous trouvons désormais dans le Plan québécois des infrastructures (PQI) l’annonce officielle que l’implantation d’un réseau métropolitain de voies réservées sur les autoroutes 13, 20, 25, 440 et 640 sera mise à l’étude. » On ne peut que se réjouir de constater que le gouvernement de la Coalition Avenir Québec se montre à l’écoute de nos revendications », a soutenu le maire de Laval, Marc Demers.
« L’enjeu de la congestion routière à Laval et dans les Basses-Laurentides nécessite d’agir rapidement. C’est un million de personnes qui en subissent chaque jour les effets néfastes. Ainsi, nous accueillons d’un très bon œil le fait que le ministère des Transports du Québec étudie l’optimisation des déplacements dans le corridor de l’autoroute 13 entre les autoroutes 640 et 50. Nous saluons également la volonté du gouvernement de mettre à l’étude la prolongation de l’autoroute 13 jusqu’à l’autoroute 50, afin de répondre aux problèmes liés à la saturation actuelle du réseau », a renchéri le préfet de la MRC Thérèse-De-Blainville et maire de la Ville de Blainville, Richard Perreault.
Rappelons que les coûts de la congestion vont atteindre 1,5 G$ en 2021 et que 50 millions d’heures par année seront perdues dans les transports. La déclaration commune entérinée par les 21 municipalités témoigne de la volonté des maires d’assurer une meilleure mobilité sur l’ensemble de notre territoire, en partenariat avec le gouvernement du Québec.
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